Bien sûr, je le savais qu'un jour tu partirais,
Et je savais aussi, qu'alors je pleurerais…
Car les choses ici bas ne sont pas éternelles,
Certains jours de nos vies semblent parfois cruels.
Le temps passe, on s'attache, on dit : « C'est pour toujours »
On vit si pleinement et si fort cet amour
Que tout nous semble vide lorsque l'autre n'est plus
On voudrait s'isoler chaque jour un peu plus.
On se ronge le cœur, on souffre le martyre
On ne supporte pas de voir l'autre partir…
Qu'il soit homme, chien ou chat, le chagrin est le même
Il faut continuer seul, mais sans dire : « Je t'aime »
Puis la douleur s'apaise, et vient le souvenir,
Evoquer le passé peut t'aider à tenir…
Mais tu n'oublieras pas cette douce tendresse,
Que tu reçus un jour, d'un chat… Pour sa maîtresse.